500 millions d’objets connectés en 2003 et des prévisions qui tournent autour de 50 milliards en 2020. 12 ans après la 1ère invention, ces objets communicants touchent à tous les domaines d’application si bien que chacun d’entre nous y trouve une utilité.
Peut-on cependant envisager un avenir durable sans objets connectés que ce soit à la maison ou au bureau ?
Annoncés comme la solution incontournable pour améliorer la performance de l’entreprise, piloter la gestion de la consommation énergétique, optimiser les flux logistiques, etc., n’ont-ils pas un côté obscur, une face cachée ?
N’est-ce pas simplement un outil qui fait perdurer notre modèle, un alibi pour redynamiser une économie à bout de souffle ?
Qu’appelle-t-on un objet connecté ?
Un objet connecté est une chose fabriquée par l’homme dont l’usage est d’établir une liaison afin de pouvoir faire passer des informations diverses et variées à un autre objet ou à toute autre chose connectée. A partir de cette définition très large, remontons le temps pour trouver les premiers objets connectés……
L’objet connecté est-il un levier de progrès ?
L’objet connecté participe indéniablement au progrès. Il est créateur de valeur ajoutée dans de nombreux champs d’application :
Vrai ou faux ami du développement durable ?
Alors, avec les 50 milliards d’objets connectés attendus d’ici peu et dont la fabrication nécessite des composants électroniques, ne sommes nous pas en train d’observer un formidable effet rebond ?
Citons rapidement quelques uns des impacts sociaux et environnementaux survenant aux différents stades du cycle de vie de ces objets désormais si présents dans notre vie quotidienne :
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